Je te voulais tellement que ma vie t’a volé. Même les étoiles ne m’ont pas écouté… Car j’avais tort. Car la raison s’était envolée au creux du néant. La folie s’était emparée du fruit, elle l’avait englouti dans la passion d’une illusion. Et sans le savoir, je t’éloignais de moi. Et dans mon plus grand espoir, je demandais à Dieu de te revoir. En vain… Jusqu’à ce lendemain, où la sagesse s’est pointée.
Elle m’a soufflé un goût d’au revoir. Elle m’a enseigné un rythme de paix. Un lieu, où seul le lien éternel peut naître, où seul le destin peut entrer en scène, où seule la marionnette se libère, où seules les mains libres écrivent…
Le Destin.